ws médiathèque du père castor

La Médiathèque du Père Castor, née de la célèbre collection de livres jeunesse, située à Meuzac en Haute-Vienne, nous a permis de découvrir son lieu niché dans la campagne limousine, et d’échanger avec sa directrice. Après une journée de découverte du site, avec prise de notes, croquis et photos, les deuxièmes années des DNMADE Graphisme, Espace et Matériaux Textiles ont réfléchi à un aménagement de jeux pour enfants dans le jardin de la médiathèque.

Désireuses de faire découvrir ce lieu autrement, les équipes transversales d’étudiant.e.s ont conçu des structures de jeu ou aménagements paysagers en s’appuyant sur des formes géométriques et des figures associées.

Les quatre jours de ce workshop intense ont été encadrés par le designer graphique Tony Durand, qui a su tirer partie des diverses propositions et les amener à aboutir à des solutions viables. Il s’agissait également pour nos étudiant.e.s de découvrir plus en détail la pratique de Tony Durand, à l’issue entre autres d’une présentation/conférence riche d’enseignements.

Les projets ont été présentés le dernier jour à la directrice de la Médiathèque du Père Castor, ainsi qu’à la représentante de la Communauté de communes, et seront ensuite exposés sur le site pour quelques semaines, puis à Limoges.

structure bâtons

Les deuxièmes et troisièmes années de DNMADE ont eu la chance, en février dernier, de suivre un workshop encadré par le duo de Structure Bâtons. Sous la forme d’une collection de micro-éditions, et par groupe inter-niveaux, ils ont questionné le territoire creusois dans son folklore, sa topographie, son histoire ou ses légendes.

Les livrets finaux ont été imprimés en noir, et la couverture en risographie couleur.

Archiver les traces de nos écritures

Fabrication d’outils d’écriture non conventionnels pour une production de signes inattendus, à grande échelle, à base d’eau. Workshop d’intégration entre premières et deuxièmes années, initié et encadré par Jules Durand et Jimmy Cintero, designers et créateurs typographiques.

encordé.e.s

Workshop d’intégration DN1/DN2, engagé par Marielle Nils, autour de la question de la cordée et du lien. Une initiation typographique collective par manipulation de corde et de fil, mettant en scène des phrases ou expressions issues de la littérature de montagne.

Une voie topographique et typographique de l’extrême.

 

contraste x contraste

Workshop encadré par Guillaume Ruiz, designer graphique à Bordeaux, accompagné de Coline Bruand.

Durant quatre jours, les deuxièmes et troisièmes années de DMADe Graphisme ont exploré la notion de contrastes au travers de l’édition, avec l’espace public de La Souterraine comme terrain d’expérimentation et de prélèvement visuel.

Chaque binôme a produit une micro-édition de 16 pages en noir et blanc, avec couverture bichromie imprimée en risographie. Ces productions ont pour finir été réunies dans un seul objet-livre, témoin de la densité et de la singularité de ce workshop.

 

workshop pop-up

Arno Célérier, ingénieur papier et concepteur de livres animés, est intervenu dans la section pour encadrer un workshop de trois jours auprès des étudiants de première et troisième années de DNMADe Graphisme.

L’enjeu de cette expérience était double : découvrir, expérimenter et produire des systèmes de kirigami et pop-up, avant de créer des objets se rapportant aux thèmes de recherche des troisièmes années. Une image-clé de leur enjeu de design, se déployant dans une dimension spatiale nouvelle.

journées portes ouvertes

Les 4 et 5 février derniers se sont tenues les journées portes ouvertes de la Cité Scolaire Raymond Loewy. Ce fut l’occasion de renouer avec des rencontres en présentiel, et pour nos étudiants de DNMADE, le moment d’offrir à tous un bel aperçu de leurs productions.

 

bon débarras

BON DEBARRAS est un workshop porté et encadré par le designer graphique Jérôme Sachs de Studioburo, auprès des deuxièmes et troisièmes années de DNMADe Graphisme.

Par binôme, et durant quatre jours, les étudiants se sont interrogés sur la disparition de la culture en cette période de pandémie, le vide laissé, la zone grise dessinée par cette absence. Chacun a pu ainsi délivrer un message qui lui est propre, convoquant un dispositif singulier et l’amenant à se positionner en tant que citoyen et futur designer graphique.

Il s’agissait alors de réfléchir et concevoir un manifeste/faire-part, aux techniques mixtes et aux avis contraires.