workshop d’intégration

Comme chaque année, les premières et deuxièmes années de DNMADE se rencontrent autour d’un workshop de trois jours, porté par un.e de nos ancien.ne.s étudiant.e.s.

Pour cette rentrée 2024, Rémy Durovray nous a fait le plaisir de venir encadrer les jeunes recrues autour du travail de la carte postale. Chaque groupe tirait ainsi au sort un lieu emblématique de La Souterraine, et s’y déplaçait pour rencontrer des interlocuteurs les éclairant sur son histoire.

A l’issue de ces trois journées, des séries de 4 cartes postales composées imprimées en risographie et numérique ont été produites par les différents groupes.

gueule de joie

Interlude créatif et fictif pour les deuxièmes années de DNMADE Graphisme, avec la création d’une identité et d’un packaging pour du vin pétillant aromatisé sans alcool. Ou comment communiquer sur un produit festif, sans les désagréments de l’alcool !

bon débarras

BON DEBARRAS est un workshop porté et encadré par le designer graphique Jérôme Sachs de Studioburo, auprès des deuxièmes et troisièmes années de DNMADe Graphisme.

Par binôme, et durant quatre jours, les étudiants se sont interrogés sur la disparition de la culture en cette période de pandémie, le vide laissé, la zone grise dessinée par cette absence. Chacun a pu ainsi délivrer un message qui lui est propre, convoquant un dispositif singulier et l’amenant à se positionner en tant que citoyen et futur designer graphique.

Il s’agissait alors de réfléchir et concevoir un manifeste/faire-part, aux techniques mixtes et aux avis contraires.

Question de genres

Dans le cadre du projet engagé avec la Préfecture de la Creuse autour des violences conjugales, les étudiants de DNMADE Graphisme 2e années ont pu recevoir le designer graphique Sébastien Marchal pour un workshop de quatre jours.

En périphérie de la question des violences faites aux femmes, il a ainsi été consacré un temps court mais dense à travailler et se questionner autour de l’égalité et l’identité hommes/femmes, en identifiant et déconstruisant au préalable les clichés attribués à chacun des genres.

L’occasion ici de prôner la singularité, de reconnaître à chacun des sexes la possibilité de se reconnaître ou se forger une identité puisant dans l’ensemble de la palette des émotions du genre humain. De jouer et se jouer des codes.